Hello les Caribbeanlovers,

J’espère que votre semaine s’est bien déroulée. On poursuit la série d’articles consacrés à l’organisation en tant que maman active.

Comme je l’ai souvent expliqué sur mes réseaux sociaux, avant son entrée à l’école, ma fille mangeait exclusivement des plats fait-maison. Nous ne voulions par l’exposer trop jeune à des produits transformés et son père et moi, voulions garder un certain contrôle sur la qualité des produits et sa consommation de sel et de sucre.

C’est pourquoi, dès la diversification, nous avons cuisiné nous-même ses plats.

Seulement voilà,  quand on est une maman qui travaille et par ailleurs, en horaire décalé, il est difficile de cuisiner à chaque repas.

J’ai donc privilégié le « meal prep » comme disent nos voisins américains, c’est-à-dire, la préparation des repas à l’avance.

Deux heures de préparation

Chaque semaine,  je sélectionnais deux à trois légumes, deux protéines et deux féculents et le dimanche matin,  je prenais une heure et demi de mon temps pour cuisiner ces aliments et préparer les portions de repas de bébé pour la semaine. Les plats complets pour le déjeuner et ceux sans protéine, réservés pour le soir.

Je mettais des étiquettes sur chacune des boites pour indiquer le contenu et pouvoir éviter qu’elle ne mange exactement la même combinaison d’aliments deux jours de suite.

Gain de temps

Certains trouvent çà très contraignant mais,  je préfère sacrifier deux heures dans mon week-end mais être tranquille le reste de la semaine et ne pas avoir à cogiter tous les jours sur un menu.

C’est du temps gagné chaque jour que je peux consacrer pour lire et jouer avec elle.

Cette technique permet aussi de bien identifier les aliments en cause en cas d’allergies alimentaires chez bébé.

Une fois que Bébé Doudou a grandi, tout naturellement, nous avons poursuivi cette bonne habitude en préparant à l’avance certains plats pour la semaine. Etant donné que je cuisine pour un tout-petit, j’utilise très peu de gras et très peu de sel.

J’avoue même éprouver un certain plaisir à voir mijoter ma soupe le dimanche comme le faisait ma grand-mère quand j’étais petite.